C'est bien ce que j'ai gentiment mais vainement indiqué aussi
Elsa Dreisig
Re: Elsa Dreisig
"elle risque le risque énormément risqué qu'elle se réalise", lol. Tu nous fait une figure de style en tant que professeur de français là.
En revanche, sur le fond, je suis entièrement d'accord avec toi suite à cette lecture d'entretien. Je ne supporte pas cette fille, bien que son disque ait été agréable à écouter mais je trouve qu'on oublie vite ses interprétations.
En revanche, sur le fond, je suis entièrement d'accord avec toi suite à cette lecture d'entretien. Je ne supporte pas cette fille, bien que son disque ait été agréable à écouter mais je trouve qu'on oublie vite ses interprétations.
Re: Elsa Dreisig
Merci à Jérôme d'avoir pointé précisément les errements de cette interview. J'avais tiqué aussi au problème de la soubrette (il oublie Berganza d'ailleurs dans ses références), mais zappé les autres.
Pourtant j'ai également acheté son disque, qu'à la différence d'Hélène je n'ai pas trop envie de réécouter pour l'instant. Manque d'incarnation évident, ce qui peut sûrement s'améliorer d'ailleurs...
Pourtant j'ai également acheté son disque, qu'à la différence d'Hélène je n'ai pas trop envie de réécouter pour l'instant. Manque d'incarnation évident, ce qui peut sûrement s'améliorer d'ailleurs...
Quanto?
- Il prezzo !
Gia, mi dicon venal, ma, a donna bella io non mi vendo a prezzo di moneta.
- Il prezzo !
Gia, mi dicon venal, ma, a donna bella io non mi vendo a prezzo di moneta.
Re: Elsa Dreisig
Je me suis demandé si quand elle parlait de légèreté (pour les soubrettes) elle ne parlait pas aussi (voire surtout) des personnages, genre "ben non, les soubrettes c'est trop léger pour moi, je veux du sérieux".
En ce qui concerne Mozart , j'ai lu une fois (je ne sais plus où ni par qui) que, justement, ce n'était pas fait pour les débutants, que c'était une erreur de les faire commencer par Mozart.
Pour info, la première Despina a été aussi le premier Chérubin.
En ce qui concerne Mozart , j'ai lu une fois (je ne sais plus où ni par qui) que, justement, ce n'était pas fait pour les débutants, que c'était une erreur de les faire commencer par Mozart.
Pour info, la première Despina a été aussi le premier Chérubin.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Elsa Dreisig
Qui a supprimé mon message ou l'a fait supprimer ?
Je disais que j'étais d'accord avec Jerome.
Je disais que j'étais d'accord avec Jerome.
Re: Elsa Dreisig
Si c'est le message où tu disais que tu ne la supportes pas, il est toujours là.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Elsa Dreisig
Ah oups oui, j'ai lu trop vite, fatigue passagère. Pardon.
- PlacidoCarrerotti
- Hall of Fame
- Messages : 17209
- Enregistré le : 04 mars 2003, 00:00
- Contact :
Re: Elsa Dreisig
C'est ce que dit Kunde par exemple, mais pour les ténors.
Il considère que la "technique mozartienne" ne permet pas à l'aigu de s'épanouir.
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).
- HELENE ADAM
- Hall of Fame
- Messages : 19899
- Enregistré le : 26 sept. 2014, 18:27
- Localisation : Paris
- Contact :
Re: Elsa Dreisig
Je suppose que cela dépend des rôles dans Mozart...mais la plupart des grandes stars actuelles sont passées par Mozart (Netrebko, Yoncheva, JK, Beczala etc..) ou y viennent (Florez). Et si on juge par les aigus superbes de Polenzani par exemple, qui fut longtemps un grand Don Ottavio (et l'est toujours je pense), j'avoue avoir un fort doute sur l'affirmation. Idem pour Spyres...PlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 nov. 2018, 20:01C'est ce que dit Kunde par exemple, mais pour les ténors.
Il considère que la "technique mozartienne" ne permet pas à l'aigu de s'épanouir.
Cela présente un vrai avantage : celui de chanter en allemand et en italien dans des rôles qui couvrent beaucoup de styles différents, le fameux génie de Mozart qui est tout sauf uniforme.
Des stars comme Sondra Radvanovsky s'en détournent à l'inverse en affirmant que dans "Mozart, elle se sent à l'étroit"...Pas sur que Grigolo s'y soit frotté non plus mais à vérifier.
Ceci dit l'histoire vocale de Gregory Kunde est très spécifique.
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr