Oui c'est ce que je voulais dire pour G. Cesare. Et bien vivement mardi prochain alors.JdeB a écrit :Nous avions un plateau de haut niveau mais composé d'artistes qui ne se donnaient guère. Alors qu'ici, ils sont survoltés. De Niesse a une présence scènique époustouflante (même si la technique est perfectible)
Haendel - Ariodante - Rousset /Hemleb - TCE, mars 2007
et alors? aucun des artistes n'a donné l'impression de marquer. Pas un instant. Lors de représentations "normales" il arrive aussi très fréquemment que des solistes soient à l'économie ou en méforme. C'est la loi du spectacle vivant.Ruggero a écrit :même si ce n'était qu'une générale...EdeB a écrit :
Chanteurs tous géniaux, magnifiques De Niese et Kirchschlager pour le couple principal, Azzaretti enchante par son piquant, et Lehtipuu est renversant. Genaux est d'une noirceur délectable et Lallouette est royal à souhait. (Evidemment, impossible de parler vraiment des prestations des chanteurs car ce ne serait pas juste étant donné qu'il s'agit encore d'une répétition.)
Dans la fosse, Talens survoltés menés de main de maitre par C Rousset.
Le seul point noir de ce spectacle c'est le choeur, recruté pour l'occasion, mais il intervient très peu.
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
Odb-opéra
Pour une générale, Danielle de Niesse, pour ne citer qu'elle, était hyper engagée. Qu'est ce que ce sera par la suite ?!!!
Point gris pour les ballets, parfois bien réussis (très belle scène finale notamment), mais costumes un peu bof, alors que les costumes des chanteurs sont eux très très réussis !!!
Point gris pour les ballets, parfois bien réussis (très belle scène finale notamment), mais costumes un peu bof, alors que les costumes des chanteurs sont eux très très réussis !!!
Ben si, à un moment Kirchschlager marquait un peu (au III), mais c'est vrai que les chanteurs ont paru jouer le jeu. D'où mon inquiétude concernant deux interprètes. Je ne donne pas leurs noms parce que 1° si le tir est corrigé, je regretterais de les avoir donnés et 2° si le tir n'est pas corrigé, il y aura suffisamment de personnes pour leur tomber dessus.JdeB a écrit :et alors? aucun des artistes n'a donné l'impression de marquer. Pas un instant. Lors de représentations "normales" il arrive aussi très fréquemment que des solistes soient à l'économie ou en méforme. C'est la loi du spectacle vivant.Ruggero a écrit :
même si ce n'était qu'une générale...
Le seul point noir de ce spectacle c'est le choeur, recruté pour l'occasion, mais il intervient très peu.
De Niese est effectivement très engagée. Je vous recommande le ballet final du II, auquel elle participe en nuisette
L'opéra semble voué à être le dernier refuge du besoin de la beauté artistique en toc.
(Bernard Shaw, 1898)
(Bernard Shaw, 1898)
Non, elle ne marquait pas au III, elle était tout simplement fatiguée.
Oui, De Niese a un physique de rêve, évolue sur scène avec une grâce rare (et sur de hauts talons), et danse à merveille.
Oui, De Niese a un physique de rêve, évolue sur scène avec une grâce rare (et sur de hauts talons), et danse à merveille.
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
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J'ai peur de manquer de temps. Si tu pouvais rédiger les trois premiers paragraphes, j'apprécierais.Ruggero a écrit :J'en étais sûr... je pense que je serais presque capable de rédiger ton compte-rendu de demain soir et celui de jeanch.abaris a écrit :C'est aussi réussi que Jules Cesar...??JdeB a écrit :J'ai passé hier soir une soirée enthousiasmante ! Cet Ariodante du TCE est un très beau moment de théâtre servi par des interprétes habités, des voix superbes, un grand chef.
J, qui y retourne demain
une vidéo promotionnelle (assez longue) de Scherza infida :
http://www.concertclassic.com/videos_flash.asp?id=67
http://www.concertclassic.com/videos_flash.asp?id=67
L'opéra semble voué à être le dernier refuge du besoin de la beauté artistique en toc.
(Bernard Shaw, 1898)
(Bernard Shaw, 1898)