Daniel Harding direction musicale
Sven-Eric Bechtolf mise en scène
Rolf Glittenberg décors
Marianne Glittenberg costumes
Heinz Spoerli chorégraphie
Ronny Dietrich dramaturgie
Jürgen Hoffmann lumières
Wiener Philharmoniker
Emily Magee (La Prima Donna/Ariane)
Elena Moșuc (Zerbinetta)
Jonas Kaufmann (Le ténor/Bacchus)
Eva Liebau (Naïade/A Shepherdess)
Marie-Claude Chappuis (Dryade/A Shepherd)
Eleonora Buratto (Echo/A Singer)
Gabriel Bermúdez (Harlequin)
Michael Laurenz (Scaramuccio)
Tobias Kehrer (Truffaldino)
Martin Mitterrutzner (Brighella)
Peter Matić(The Major-Domo)
Cornelius Obonya (M. Jourdain)
Thomas Frank (The Composer)
Michael Rotschopf (Hofmannsthal)
Regina Fritsch (Ottonie/Dorine)
Stefanie Dvorak (Nicolina)
Johannes Lange (Flunky)
Ariadne auf Naxos - Harding/Bechtolf - Salzbourg - 08/2012
Je l'ai regardé sur medici.tv
C'est la version originale qui a été choisie avec, à la place du Prologue, une représentation du Bourgeois Gentilhomme. Sans sous-titrage et bien que germanophone, j'ai décroché très vite, d'autant plus que les comédiens - et surtout l'interprète de M. Jourdain - en faisaient des tonnes...
D'où aussi, la disparition du rôle chanté du Compositeur...
Pour le reste, n'étant pas un spécialiste de Strauss, j'ai trouvé que la mise en scène reprenait bien les 2 niveaux de l'opéra : la Commedia dell'Arte, d'un côté et de l'autre, le drame d'Ariane et ses "conventions théâtrales".
Musicalement, seconds rôles "italiens" bien campés et un trio royal pour les principaux rôles : étincelante Zerbinette d'Elena Mosuc, Ariane un peu en retrait d'Emily Magee, au vibrato très prononcé et, le clou de la soirée, le Bacchus tout vêtu de "panthère" de Jonas Kaufmann, qui semble avoir recouvré tous ses moyens pour ce rôle court mais très exposé... (à signaler qu'il avait chanté la veille Rodolfo de la Bohème à la place de Beczala souffrant).
Daniel Harding, à la tête du Philharmonique de Vienne, a bien conjugué la transparence et la puissance de l'orchestre straussien.
C'est encore visible sur medici.tv en replay
C'est la version originale qui a été choisie avec, à la place du Prologue, une représentation du Bourgeois Gentilhomme. Sans sous-titrage et bien que germanophone, j'ai décroché très vite, d'autant plus que les comédiens - et surtout l'interprète de M. Jourdain - en faisaient des tonnes...
D'où aussi, la disparition du rôle chanté du Compositeur...
Pour le reste, n'étant pas un spécialiste de Strauss, j'ai trouvé que la mise en scène reprenait bien les 2 niveaux de l'opéra : la Commedia dell'Arte, d'un côté et de l'autre, le drame d'Ariane et ses "conventions théâtrales".
Musicalement, seconds rôles "italiens" bien campés et un trio royal pour les principaux rôles : étincelante Zerbinette d'Elena Mosuc, Ariane un peu en retrait d'Emily Magee, au vibrato très prononcé et, le clou de la soirée, le Bacchus tout vêtu de "panthère" de Jonas Kaufmann, qui semble avoir recouvré tous ses moyens pour ce rôle court mais très exposé... (à signaler qu'il avait chanté la veille Rodolfo de la Bohème à la place de Beczala souffrant).
Daniel Harding, à la tête du Philharmonique de Vienne, a bien conjugué la transparence et la puissance de l'orchestre straussien.
C'est encore visible sur medici.tv en replay