ok ! promis je vais y prêter attention lors de ma prochaine écoute... là je viens juste de réécouter Scotto, que j'adore (ses stridences ne m'ont jamais dérangé). Eh bien je préfère notre chère KatiaLoïs a écrit : ↑10 mars 2020, 14:11Ben non justement c'est sublime jusqu'à "senza mamma" pour un rôle quelle avait abordé pour ses débuts à la Scala si je me souviens bien, puis c'est l'effondrement dans la section finale avec des aigus en perdition de tension et cette manie de supprimer les syllabes quand le souffle ne suit plusermione a écrit : ↑10 mars 2020, 13:24J'en profite pour rebondir...
Je viens d'écouter sa Suor Angelica face à Cossoto... Quel choc !!!! Surtout quand on a (malheureusement) dans l'oreille ses prestations plus tardives.
Tout y est parfait : l'adéquation au rôle, la beauté absolue de l'instrument, un aigu radieux (et sans ce voile désagréable qui ternira tant de ses interprétations post 1985), des sons filés vaporeux qui valent amplement ceux de Caballé.
Je n'ai qu'une envie : réécouter en boucle ce disque qui va me réconcilier pour toujours avec une oeuvre dont la thématique religioso-mystique me rebutait jusque-là
Katia :
Katia Ricciarelli
Re: Katia Ricciarelli
Balena in man del figlio
L'asta di Achille ancora,
Né sa temer periglio
Di Troja il vincitor.
L'asta di Achille ancora,
Né sa temer periglio
Di Troja il vincitor.
Re: Katia Ricciarelli
Scotto fut incomparable dans ce rôle mais il faut choisir le live du MET avec ma chère Jocelyne Taillon en Zia Principesa plutôt que le studio où Maazel se complaît dans sa masturbation sonore habituelle.ermione a écrit : ↑11 mars 2020, 14:06ok ! promis je vais y prêter attention lors de ma prochaine écoute... là je viens juste de réécouter Scotto, que j'adore (ses stridences ne m'ont jamais dérangé). Eh bien je préfère notre chère KatiaLoïs a écrit : ↑10 mars 2020, 14:11Ben non justement c'est sublime jusqu'à "senza mamma" pour un rôle quelle avait abordé pour ses débuts à la Scala si je me souviens bien, puis c'est l'effondrement dans la section finale avec des aigus en perdition de tension et cette manie de supprimer les syllabes quand le souffle ne suit plusermione a écrit : ↑10 mars 2020, 13:24J'en profite pour rebondir...
Je viens d'écouter sa Suor Angelica face à Cossoto... Quel choc !!!! Surtout quand on a (malheureusement) dans l'oreille ses prestations plus tardives.
Tout y est parfait : l'adéquation au rôle, la beauté absolue de l'instrument, un aigu radieux (et sans ce voile désagréable qui ternira tant de ses interprétations post 1985), des sons filés vaporeux qui valent amplement ceux de Caballé.
Je n'ai qu'une envie : réécouter en boucle ce disque qui va me réconcilier pour toujours avec une oeuvre dont la thématique religioso-mystique me rebutait jusque-là
Katia :
Ce dernier échange m'a donné envie de réécouter Ricciarelli que je confesse n'avoir écouté qu'une fois, traumatisé par une écoute qui m'avait chauffé à blanc avant de retomber comme un malheureux soufflet (j'avais eu le même problème à Liège où la jeune chanteuse s'était carbonisée sur scène et avait fini l'opéra en brasse coulée)
Re: Katia Ricciarelli
Il faut aussi écouter deux autres versions : de los Angeles dirigée par Serafin (rarement entendu un chef aussi amoureux de sa chanteuse qui n'a d'ailleurs jamais autant mérité son nom) et Sena Jurinac (attention en Allemand)
Re: Katia Ricciarelli
Noté ! Je viens justement de faire un peu le tour des enregistrements des puccini par los Angeles.
Je suis pas toujours fan : sa butterfly par exemple dont je n'aime pas le côté poupée de porcelaine fragile, brisé par un américain inconscient (même quand c'est Björling)...
Mais je vais me procurer sa Suor Angelica
Quant à Jurinac, on ne l'attend pas forcément dans Puccini... mais je suis curieux
Balena in man del figlio
L'asta di Achille ancora,
Né sa temer periglio
Di Troja il vincitor.
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