jusqu'au contre-solPeleo a écrit :Je suis étonné que personne ne parle de William Matteuzzi. C'est vraiment le ténor qui m'a le plus scotché par ses aigus.
Mais n'étant pas musicien, je suis incapable de dire à quelle hauteur il montait.
Les ténors et leurs suraigus
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Où ça?jerome a écrit :jusqu'au contre-solPeleo a écrit :Je suis étonné que personne ne parle de William Matteuzzi. C'est vraiment le ténor qui m'a le plus scotché par ses aigus.
Mais n'étant pas musicien, je suis incapable de dire à quelle hauteur il montait.
J'ai connaissance de ses fa glorieux d'I puritani et d'Il barbiere di Siviglia, mais le contre-sol, je veux l'entendre!
Je crois que nous allons donc laisser tomber les ré aigus de notre ami Pavarotti... Quête vaine s'il en est!
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le contre-ré du duc par Pavarotti ?? ben c'est pas compliqué, Luciano le fait dans ses 4 intégrales studio: Chez Bonynge il est d'un éclat insolent, chez Chailly I il est plus corsé mais toujours aussi péremptoire, chez Chailly II il commence à méchamment blanchir et chez Levine il est totalement délavé!PlacidoCarrerotti a écrit :Ben, celui du Duc, pas celui de Mauriziojerome a écrit :quel contre-ré ??Leporello84 a écrit :Alors romain, contre-ré ou pas contre-ré?
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Mais non! Tu as raté un épisode jerome. Il s'agit de savoir où et quand Roberto Alagna a donné le ré du duc de Mantoue. Pour en avoir le cœur net, romain s'est proposé de demander la réponse directement à l'intéressé après Adriana Lecouvreur. Je venais donc aux nouvelles...jerome a écrit :le contre-ré du duc par Pavarotti ?? ben c'est pas compliqué, Luciano le fait dans ses 4 intégrales studio: Chez Bonynge il est d'un éclat insolent, chez Chailly I il est plus corsé mais toujours aussi péremptoire, chez Chailly II il commence à méchamment blanchir et chez Levine il est totalement délavé!PlacidoCarrerotti a écrit :Ben, celui du Duc, pas celui de Mauriziojerome a écrit :quel contre-ré ??Leporello84 a écrit :Alors romain, contre-ré ou pas contre-ré?
En fait, on voulait demandé à Roberto ou et quand il avait fait le contre-ré dans Rigoletto comme il l'a dit dans le journal "La provence"jerome a écrit :le contre-ré du duc par Pavarotti ?? ben c'est pas compliqué, Luciano le fait dans ses 4 intégrales studio: Chez Bonynge il est d'un éclat insolent, chez Chailly I il est plus corsé mais toujours aussi péremptoire, chez Chailly II il commence à méchamment blanchir et chez Levine il est totalement délavé!PlacidoCarrerotti a écrit :Ben, celui du Duc, pas celui de Mauriziojerome a écrit :quel contre-ré ??Leporello84 a écrit :Alors romain, contre-ré ou pas contre-ré?
Re: Les ténors et leurs suraigus
Leporello84 a écrit :On sait que notre Luciano se délectait de pouvoir pousser sa note finale suraiguë, elles ont en partie sans doute fait sa gloire: il suffit pour s'en convaincre d'aller faire un tour sur YouTube et de regarder combien de personnes ont déjà visionné sa « Donna è mobile » ou son « Pour mon âme »... De même, ses enregistrements de studio ne manquent pas de jolies contre-notes (avec point d'orgue, évidemment!): tous ses ut des Trovatore et autres Traviata, les ut dièses de Rigoletto et d'I puritani, les ré des deux mêmes opéras, et les célèbres mi bémols des Foscari et contre-fa d'I puritani.
Si les deux dernières notes citées n'ont été émises qu'en pure voix de tête, et seulement au disque, on sait que le tenorissimo n'hésitait pas à enivrer le public de ses ut et autres ut dièses de poitrine à la scène. Qu'en est-il de ses contre-ré? C'est une note qu'il a donnée en studio, naturellement (cf. I puritani, DECCA / Bonynge, en 1973), ou à grand renfort de l'informatique (cf. Rigoletto, Deutsche Grammophon / Levine, 1993), avec des résultats plus ou moins heureux...
Mais alors, ma question est la suivante: quelqu'un a-t-il déjà entendu un contre-ré de Big Lulu en live? S'est-il déjà permis cette fantaisie sur une scène?
Bonsoir sur le site youtube une nouvelle bande sonnore a été mise en ligne, elle nous permet d'entendre Pavarotti et Sutherland en 1972 au Met dans le duo de Rigoletto Addio, addio... La note finale est annoncée comme un contre ré... A vous de me dire ??? http://www.youtube.com/watch?v=LRYrFvCZ ... re=related
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Re: Les ténors et leurs suraigus
Ut-dièse ou ré-bémol (pour les finasseurs !).Maestro20 a écrit :Leporello84 a écrit :On sait que notre Luciano se délectait de pouvoir pousser sa note finale suraiguë, elles ont en partie sans doute fait sa gloire: il suffit pour s'en convaincre d'aller faire un tour sur YouTube et de regarder combien de personnes ont déjà visionné sa « Donna è mobile » ou son « Pour mon âme »... De même, ses enregistrements de studio ne manquent pas de jolies contre-notes (avec point d'orgue, évidemment!): tous ses ut des Trovatore et autres Traviata, les ut dièses de Rigoletto et d'I puritani, les ré des deux mêmes opéras, et les célèbres mi bémols des Foscari et contre-fa d'I puritani.
Si les deux dernières notes citées n'ont été émises qu'en pure voix de tête, et seulement au disque, on sait que le tenorissimo n'hésitait pas à enivrer le public de ses ut et autres ut dièses de poitrine à la scène. Qu'en est-il de ses contre-ré? C'est une note qu'il a donnée en studio, naturellement (cf. I puritani, DECCA / Bonynge, en 1973), ou à grand renfort de l'informatique (cf. Rigoletto, Deutsche Grammophon / Levine, 1993), avec des résultats plus ou moins heureux...
Mais alors, ma question est la suivante: quelqu'un a-t-il déjà entendu un contre-ré de Big Lulu en live? S'est-il déjà permis cette fantaisie sur une scène?
Bonsoir une nouvelle bande sonnore a été mise en ligne, elle nous permet d'entendre Pavarotti et Sutherland en 1972 au Met dans le duo de Rigoletto Addio, addio... La note finale est annoncée comme un contre ré... A vous de me dire ???
Je crois me souvenir que Lulu faisait la note encore en 90 au Met (c'était un p'tit cri un peu coincé, pas vraiment projeté). Il avait 55 ans.
Kraus l'a faite assez tard par exemple en 87 (donc à 60 ans).
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).