A chaque fois je parle de celui/ceux qui me bouleverse(nt) le plus. Evidemment que Toscanini et de Sabata sont hors de portée...Mais, comme je l'avais écrit, pour moi, mon Dieu est W.Furtwänglerwagneriano a écrit :Alors hors catégorie: Furtwängler. Avec ce chef on arrive à un degré de profondeur d'intelligence et de musicalité pour moi jamais égalées...
Et Toscanini? Et De Sabata? .
Et aucun n'est au niveau des deux autres précédemment cités...Faut bien trancher à un moment (d'ailleurs et ce n'est qu'une question de goût personnel...je ne suis pas tout à fait d'accord avec les nuances que tu apportes...et heureusement chacun ses chouchous.... )wagneriano a écrit :Les monstres sacrés aujourd'hui disparus: Kleiber, Böhm, Walter, et bien sûr Karajan et Solti.
A mon avis, ni Walter ni Bohm sont au meme niveau de Karajan, de Kleiber et meme de Solti. .
J'ai surtout oublié Gergiev.wagneriano a écrit :Les grands: Muti, Haitink, Rozhdventsky...
D'accord pour Muti, peut-etre pour Haitink, mais Rozhdventsky est fini (tu as vu la Dame de Pique à Bastille?). Parmi les russes, Termikanov est insurclassable.
Non je n'ai pas entendu cette Dame de Pique, j'étais en Allemagne, mais on ne peut juger un artiste de l'envergure de Rozhdventsky, qui a tant fait pour la musique en URSS pendant la guerre froide (il était profondément anti-soviétique), parce qu'il est devenu trop vieux pour tenir une formation comme l'ONP...Quand Domingo a eu son extinction de voix en pleine représentation, personne n'a songé à le lyncher pour autant...Et puis pour en revenir à Rozh., beaucoup de musiciens de l'orchestre étaient encore impresionnés par ce chef. Mais encore une fois, je ne peux juger de sa performance, je ne l'ai pas entendue.
Et tant que j'y suis dans mes oublis, parmi les d'jeuns (<50 ans), il y aussi le grand Esa Pekka Salonen.
Amicalement,
Tatiana