Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Je m'ennuie rarement à l'opéra. Toutefois, je citerai :
- l'air du Saule dans Otello (sauf quand il est chanté par Caballé, là je m'évanouis)
- la version 1869 de Boris Godounov (à l'inverse, j'adore la version de 1872)
- Cendrillon de Massenet
- La petite renarde rusée de Janacek (sublime orchestration, mais quel pensum théâtral ...)
- "Di provenza", l'air de Germont dans la Traviata, surtout s'il est pris dans un tempo lent
- la plupart des oratorios de Händel
- l'air du Saule dans Otello (sauf quand il est chanté par Caballé, là je m'évanouis)
- la version 1869 de Boris Godounov (à l'inverse, j'adore la version de 1872)
- Cendrillon de Massenet
- La petite renarde rusée de Janacek (sublime orchestration, mais quel pensum théâtral ...)
- "Di provenza", l'air de Germont dans la Traviata, surtout s'il est pris dans un tempo lent
- la plupart des oratorios de Händel
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Pas d'accord pour l'Air du Saule, Boris, et Di Provenza.
Cendrillon ne m'a pas semblé du genre assommant (réserves parce que je n'ai vu que la fin, un peu par hasard sur mezzo), le Janacek, jamais vu.
Tout aussi ennuyeux, les opéras de Haedel..
Dans la série "mise en scène rendant une œuvre ennuyeuse" : celle de Barrie Kosky pour Carmen au ROH.
Cendrillon ne m'a pas semblé du genre assommant (réserves parce que je n'ai vu que la fin, un peu par hasard sur mezzo), le Janacek, jamais vu.
Tout aussi ennuyeux, les opéras de Haedel..
Dans la série "mise en scène rendant une œuvre ennuyeuse" : celle de Barrie Kosky pour Carmen au ROH.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Fervaal de Vincent d'Indy rentre d'emblée dans mon Top6 des opéras les plus ennuyeux
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
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Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Sur Facebook certains n hésitent pas à parler de chef d œuvre ( rien que ça !!)
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
A Montpellier le summum de l'ennui avec la Straniera de Bellini (les ronflements couvraient l'orchestre) qui arrive une demi marche derrière une bouse crée à Covent Garden il y a deux ans et dont ma mémoire n'a pu retenir le nom (c'était un compositrice britannique)
PS : à Montpellier aussi (mais pas au festival) je me suis endormi dans la Clemenza et Fidelio
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
C'est marrant, je ne qualifierais pas la Cendrillon de Massenet d'oeuvre "ennuyeuse", sinon tout le contraire, avec son enchainement d'ambiances et d'humeurs trés variées.paco a écrit : ↑09 juil. 2019, 09:17Je m'ennuie rarement à l'opéra. Toutefois, je citerai :
- l'air du Saule dans Otello (sauf quand il est chanté par Caballé, là je m'évanouis)
- la version 1869 de Boris Godounov (à l'inverse, j'adore la version de 1872)
- Cendrillon de Massenet
- La petite renarde rusée de Janacek (sublime orchestration, mais quel pensum théâtral ...)
- "Di provenza", l'air de Germont dans la Traviata, surtout s'il est pris dans un tempo lent
- la plupart des oratorios de Händel
Pour les oratorios (et la plupart des opéras de Haendel, sauf Giulio Cesare), par contre...
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Vu Cendrillon (Glyndebourne 2019 sur Mezzo, encore des diffusions à prévoir je pense). Sans qualifier ça d'ennuyeux, je n'ai pas particulièrement accroché.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Personne ne mentionne Turandot. Je me suis pourtant bien endormi au Met un soir où Stemme chantait , pourtant. Même le rire de ma voisine a l entrée d un enieme porteur de clochettes sur scene ne m’en a pas empêché.
Re: Les oeuvres (ou extraits) les plus ennuyeuses
Parce que personne jusqu'à présent n'a trouvé cette œuvre ennuyeuse.
Pour l'anecdote, j'ai découvert cette œuvre (années 70) à la télévision, et j'ai été fascinée par l'orchestration. Aucun souvenir par contre de l'interprétation vocale...
Pour l'anecdote, j'ai découvert cette œuvre (années 70) à la télévision, et j'ai été fascinée par l'orchestration. Aucun souvenir par contre de l'interprétation vocale...
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)