Pas de souci , tu n'es pas la seule à avoir fait cette faute de frappe , je l'ai lu dans d'autre critique sur d'autre site étranger à ODB ...
bernard
Pas de souci , tu n'es pas la seule à avoir fait cette faute de frappe , je l'ai lu dans d'autre critique sur d'autre site étranger à ODB ...
21 mai 1829, Salle Favart.JdeB a écrit : ↑10 nov. 2017, 09:57Très en retard pour la Flute ?HELENE ADAM a écrit : ↑10 nov. 2017, 09:46Coquille corrigée (merci pour ta vigilance )JdeB a écrit : ↑10 nov. 2017, 09:18Début XVIII ième pour un ouvrage de 1791 ?HELENE ADAM a écrit : ↑07 nov. 2017, 07:52L'exposé d'Agnès Terrier rappelait par ailleurs que les premières représentations de la Flûte à Paris, début 18ème,
Paris avait vraiment de l'avance en ce temps-là
Paris était plutôt très en retard en l'occurrence....et pas très respectueux des oeuvres. Mais cette notion n'avait pas grand sens...
oui, après une cinquantaine de villes allemandes, Prague (1794) et Moscou (1801, en russe) mais avant beaucoup d'autres capitales si l'on veut...
En France, la création des Nozze di Figaro dans l'original italien c'est Aix en...1952 !
cherchons pour la Flûte
Oui, je vais finir par fonder l' Association Pour la Défense des Récitatifs Mozartiens, après celle de Défense de l'Opera Seria-Canal Historique !JdeB a écrit : ↑10 nov. 2017, 09:36Ne t"inquiète pas !Adalbéron a écrit : ↑07 nov. 2017, 00:20J'espère que ceux qui hurlent à la profanation devant le travail de Sellars/Currentzis pour leur "Clémence" traiteront avec la même rigueur cette "Flûte" .
Mise en scène très chouette.
Distribution honorable. J'ai bien aimé Pamina contrairement à Asvo, c'est même celle qui, avec Sarastro, pour moi s'en sort le mieux.
Je n'aurais pas cru mais la distribution de la représentation à laquelle j'étais hier à Limoges était bien meilleure.
EdeB a même parlé de maltraitance.
Je ne parlais pas de toi Emmanuelle .EdeB a écrit : ↑10 nov. 2017, 13:57Ben, non, j'ai bien précisé que c'était un pianoforte... mais j'en ai entendu de plus beaux spécimen...Bernard C a écrit : ↑09 nov. 2017, 23:27Post post scriptum ; le piano voulu par les réalisateurs , n'est pas un piano d'accompagnement de film muet comme j'ai pu le lire plus haut.
Ils ont expressément choisi pour l'interprétation de la K 475 et la K397 un piano forte du XVIII ème siècle , avec le souci "de garder même dans les dialogues , ici transformés et condensés en intertitres" , le " timing " qui "always came from the music...gives a consistent rythm"
Bernard
Et ici la recension de la presse de l'époque :
Au troisième acte, on lui a redemandé un air de l'Enlèvement du Sérail qui se trouve intercalé dans la Flûte magique, et il l'a chanté de nouveau avec un goût parfait.houppelande a écrit : ↑10 nov. 2017, 20:26Et ici la recension de la presse de l'époque :
http://agora.qc.ca/documents/representa ... is_en_1829
Il aurait peut être fallu suivre ce conseil ?PlacidoCarrerotti a écrit : ↑10 nov. 2017, 16:44Je sais que je me suis endormi car je n'ai pas vu ma voisine s'éclipser au cours de l'acte II.
Il aurait sans doute pu influer, à la longue, sur la fortune artistique des opéras de Mozart en France. Dommage.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑10 nov. 2017, 20:49Au troisième acte, on lui a redemandé un air de l'Enlèvement du Sérail qui se trouve intercalé dans la Flûte magique, et il l'a chanté de nouveau avec un goût parfait.houppelande a écrit : ↑10 nov. 2017, 20:26Et ici la recension de la presse de l'époque :
http://agora.qc.ca/documents/representa ... is_en_1829
L'éphémère Théâtre allemand ne concurrença pas longtemps les Italiens