I puritani (CD)

L'actu; découvertes, sorties, critiques et conseils !
ermione
Soprano
Soprano
Messages : 56
Enregistré le : 02 déc. 2005, 00:00

Re: I puritani (CD)

Message par ermione » 04 oct. 2019, 10:01

raph13 a écrit :
02 oct. 2019, 23:20
ermione a écrit :
02 oct. 2019, 12:59
En live, il existe deux perles "puritaniennes" qui méritent l'attention :
- Di Stefano en 51 à mexico face à Callas, dont le "a te o cara" me semble insurpassable
- Gedda et Sutherland en 63, totalement survolté, font hurler de bonheur les spectateurs... et frissonner les auditeurs de ce précieux document. On a beau dire, le "c'était mieux avant" a encore de belles heures devant lui :)
1952 à Mexico ;-)
oui, 52 !
C'est tout de même surprenant de constater que seules deux petites années séparent cette représentation de sa médiocre prestation en studio, face à une Callas au zénith de sa légende.
Du reste, c'est d'autant plus étonnant que même en lambeau, la voix de pipo a gardé de sublimes demi-teintes lors du concert d'adieu de la Divine dans les années 70...
Balena in man del figlio
L'asta di Achille ancora,
Né sa temer periglio
Di Troja il vincitor.

Avatar du membre
raph13
Basse
Basse
Messages : 4309
Enregistré le : 03 déc. 2005, 00:00
Localisation : Paris

Re: I puritani (CD)

Message par raph13 » 04 oct. 2019, 22:20

ermione a écrit :
04 oct. 2019, 10:01
raph13 a écrit :
02 oct. 2019, 23:20
ermione a écrit :
02 oct. 2019, 12:59
En live, il existe deux perles "puritaniennes" qui méritent l'attention :
- Di Stefano en 51 à mexico face à Callas, dont le "a te o cara" me semble insurpassable
- Gedda et Sutherland en 63, totalement survolté, font hurler de bonheur les spectateurs... et frissonner les auditeurs de ce précieux document. On a beau dire, le "c'était mieux avant" a encore de belles heures devant lui :)
1952 à Mexico ;-)
oui, 52 !
C'est tout de même surprenant de constater que seules deux petites années séparent cette représentation de sa médiocre prestation en studio, face à une Callas au zénith de sa légende.
Du reste, c'est d'autant plus étonnant que même en lambeau, la voix de pipo a gardé de sublimes demi-teintes lors du concert d'adieu de la Divine dans les années 70...
Encore raté, une seule année : le studio date de 53 ;-)
« L’opéra est comme l’amour : on s’y ennuie mais on y retourne » (Flaubert)

Répondre