Tiens vl'a une image pour illustrer tes propos Frelon ; j'espère qu'elle te plairaaroldo a écrit :J'y tiens moi au musico travesti !
Surtout dans les cantilènes de Bellini ....
Il y a une pureté adolescente qui se dégage de tout cela, et qui est particulièrement émouvante.
Et puis on sent bien les 18 ans de Romeo dans ce cas.
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I Capuleti à prix très doux (CD)
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"Gérard Mortier a raison d'offrir Elektra sans entracte"
( Eric Dahan Libération 25/06/2005)
( Eric Dahan Libération 25/06/2005)
Quand je parlais de musico travesti je voulais dire des dames qui jouaient des monsieurs.
Je ne sais pas qui est cette personne mais j'ai peur de faire des cauchemards cette nuit ! (du genre attaqué par un casque à plume qui chanterait l'air de Romeo au tombeau avec la voix de Phiphi ...)
Frelon (qui n'a pas mérité une chose pareille )
PS : c'était une blague, j'adore Scotto, et Steber et Freni et la dame que tu as en avatar et Anderson et tout le monde. Au secours !
l'enlevement de Clarissa a été un des évènements de ma jeunesse.
Je ne dis pas le contraire !
Mais une femme peut parfaitement être crédible et masculine, tout en respectant la ligne et la couleur qu'à priori Bellini a voulu exploiter.
C'est vrai que dans ces opéras plus tardifs il prend un ténor comme héros, mais là il me semble qu'il y a encore quelque chose de la tradition rossinienne (et en fait quelque chose qui rappelle directement les castrats. Bref on revient au fil "travesti")
Donc vivent Malibran, Pasta autrefois, Baker, Baltsa, Kasarova, Larmore et Simionato (qui a gravé magnifiquement la plainte du tombeau) en beau page, même si c'est du Shakespeare, revu par l'esthétisme italienne de la première moitié du XIX.
Mais une femme peut parfaitement être crédible et masculine, tout en respectant la ligne et la couleur qu'à priori Bellini a voulu exploiter.
C'est vrai que dans ces opéras plus tardifs il prend un ténor comme héros, mais là il me semble qu'il y a encore quelque chose de la tradition rossinienne (et en fait quelque chose qui rappelle directement les castrats. Bref on revient au fil "travesti")
Donc vivent Malibran, Pasta autrefois, Baker, Baltsa, Kasarova, Larmore et Simionato (qui a gravé magnifiquement la plainte du tombeau) en beau page, même si c'est du Shakespeare, revu par l'esthétisme italienne de la première moitié du XIX.
l'enlevement de Clarissa a été un des évènements de ma jeunesse.