David-Opera a écrit :Par nature l'opéra est raffiné mais tout le monde ici (j'espère!) a passé ce stade d'observation pour avoir avec cet art une relation moins superficielle.
Et ce sont les second sens dans le cinéma qui nous intéresse.
Ce que je voulais dire, c'est que les oeuvres cinématographique où l'utilisation de l'opéra m'a impressionné montraient plutôt l'opéra comme lieu de démesure que comme lieu d'amour - quitte à surenivrer l'amoureux. Lorsque l'opéra est prétexte à l'amour où à l'éblouissement, c'est souvent plus superficiel, dans la perception que j'ai eue des films que j'ai vus.
Je ne disais nullement que l'opéra n'était que raffiné, ou que le cinéma ne l'utilisait que dans ce cadre.
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La traduction de la folie par l'opéra ne me parait pas limpide, par contre son pouvoir sur l'esprit est fortement suggéré.
Heu, Aroldo, c'est David-Opera qui a dit ça...
Pst, Aroldo, tes balises, tes balises!
D'ailleurs, je dois ajouter que ce que David-O décrit est juste. J'ai voulu faire vite, mais en aussi bref, il l'a mieux dit.
Plus encore qu'un pouvoir sur l'esprit, il semble que les lyricomanes soient comme intérieurement possédés par un feu, préalablement à la représentation qui peut les révéler ou les exalter. Pour les autres, on reste dans le cadre décrit par David-O.
David LM - bof,lescitations,désordremodéré,çaresteentreDavid