Love letters
Love letters
A défaut de Cosi fan tutte et en attendant de voir quelquechose de vraiment consistant sur une scène d'opéra, on peut se précipiter sur "Love letters" d' A. R Gurney avec le barytonnant Philippe Noiret et la toujours belle et bien nommée Anouk Aimée . 150 ans à eux deux, mais une bien belle soirée comme on aimerait en voir plus souvent... A 19 heures au Théâtre de la Madeleine..
C'est une superbe pièce.
Je l'ai vue il y a une dizaine d'année avec Anouk Aimée et Bruno Cremer.
Je l'ai vue il y a une dizaine d'année avec Anouk Aimée et Bruno Cremer.
On veut la mort du ténor dont la grosse dame veut partager le sort.
Faites en mourir au moins un, et les deux si le coeur vous en dit.
Quant au baryton, il reste seul avec son deshonneur. (Monsieur Bluf à l\\\\\\\'Opéra)
Faites en mourir au moins un, et les deux si le coeur vous en dit.
Quant au baryton, il reste seul avec son deshonneur. (Monsieur Bluf à l\\\\\\\'Opéra)
- anne75
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Noiret / Cremer
En effet, je me souviens de Cremer, mais Noiret doit apporter sa touche personnelle !
Depuis un moment, j'ai fait le plein de sorties théâtre 50% aux premières !
Bonjour amical cher M. Doudou !
Depuis un moment, j'ai fait le plein de sorties théâtre 50% aux premières !
Bonjour amical cher M. Doudou !
Moi aussi, c'était au Petit-Marigny. Un très bon souvenir.doudou a écrit :C'est une superbe pièce.
Je l'ai vue il y a une dizaine d'année avec Anouk Aimée et Bruno Cremer.
Mais je crois qu'il y a bien 15 ans...
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
Odb-opéra
C'était au siècle dernier !JdeB a écrit :Moi aussi, c'était au Petit-Marigny. Un très bon souvenir.doudou a écrit :C'est une superbe pièce.
Je l'ai vue il y a une dizaine d'année avec Anouk Aimée et Bruno Cremer.
Mais je crois qu'il y a bien 15 ans...
On veut la mort du ténor dont la grosse dame veut partager le sort.
Faites en mourir au moins un, et les deux si le coeur vous en dit.
Quant au baryton, il reste seul avec son deshonneur. (Monsieur Bluf à l\\\\\\\'Opéra)
Faites en mourir au moins un, et les deux si le coeur vous en dit.
Quant au baryton, il reste seul avec son deshonneur. (Monsieur Bluf à l\\\\\\\'Opéra)