Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
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Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Robert Carsen:
Tosca (Antwerp; Barcelona; Zurich)
Richard III (Antwerp; Geneve; Strasbourg)
Ariadne auf Naxos (Bayerische Staatsoper; Deutsche Oper Berlin)
Midsummer Night's Dream (Aix; English National Opera; Barcelona; La Scala)
Tosca (Antwerp; Barcelona; Zurich)
Richard III (Antwerp; Geneve; Strasbourg)
Ariadne auf Naxos (Bayerische Staatsoper; Deutsche Oper Berlin)
Midsummer Night's Dream (Aix; English National Opera; Barcelona; La Scala)
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- Ténor
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Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Oui, je garde encore un souvenir éblouissant de cette production.JdeB a écrit :oui, un Ring venu de Nice, signé par D. Mesguich et dirigé par B. Klobucar au printemps 1988quetzal a écrit :Je rappelle que cette mise en scène était signée Daniel Mesguish.quetzal a écrit :Le Ring du TCE des années 80 avait le palais Garnier comme décor.
Il y en a une myriade ...
Je ne trouve pas de photos sur le net de ce rare Ring parisien des années 80...
Si quelqu'un a une illustration , ça me rappellerait des souvenirs .
Au Crépuscule les loges de Garnier s'effondraient ..._ adieu cloisons des loges...tentures moirées et dorures XIX ème...
Bernard
Les « gamineries » déconstructrices de Mesguich fonctionnent à plein régime.
L'opéra ou la maison d'opéra, incarnation de la puissance et de l'argent, se désintègre à la fin du Crépuscule.
Plein d'images saisissantes et les décors efficaces de Louis Bercut.
Il y avait des idées géniales comme Alberich qui vole un cor en or de la fosse d'orchestre.
Il y a une dizaine de photos, hélas en noir et blanc et de mauvaise qualité, dans le programme.
Je n'ai pas le courage de chercher le vieux numéro de l'Opéra International au fond du placard. De toute façon je crois qu'à l'époque il n'y avait que des photos en noir et blanc dans le magazine...
http://www.tce-archives.fr/document/292 ... e-nibelung
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Et je vois que personne ne cite Pagliacci de Leoncavallo où une mise en abîme tourne au tragique puisque Canio, le clown et mari trompé sur la scène ne supporte dans la vie pas l'infidélité de sa femme Nedda, qui joue Colombine, il la poignarde ainsi que son amant Silvio pour annoncer au public <<la commedia è finita>>.
Faustin
Faustin
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Il n'est pas le seul, ils sont trés nombreux à le faire. Mais souvent ça marche assez bien.aurele a écrit :Carsen s'est fait une spécialité des mises en abyme, du théâtre dans le théâtre.
Pelly l'a fait un certain nombre de fois également :
Son Orphée aux Enfers commence dans une cage de scène qui se disloque (un peu comme le 1er acte de sa Platée).
Le même Pelly a usé du stratagème, plutôt habilement, dans son Roi Malgré Lui (Chabrier) [Lyon et Opéra-Comique] pour tenter de donner un sens dramaturgique à cette grande "fantaisie"...
Certains ont cité le Songe d'une Nuit d'été (Britten) par Carsen. Mais là, la pièce l'exige, puisque toute l'histoire tourne autour de comédiens qui préparent une pièce pour la fête du Duc !
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Là encore, c'est l'oeuvre qui l'exige, pas la mise en scène seule.romance a écrit :Une comédie musicale "Kiss me, Kate" ?
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Sans doute, parce que, comme pour Adriana Lecouvreur, c'est dans le livret. Ici, il est plutôt question des mises en scène qui situent arbitrairement (si j'ose dire) l'action dans un théâtre, alors que le livret ne le prévoit pas. A moins qu'on ne fasse un Cav/Pag à décor unique, celui du théâtre. Même chose d'ailleurs pour La Dame de Pique avec la représentation à laquelle assistent les personnages.faustin a écrit :Et je vois que personne ne cite Pagliacci de Leoncavallo où une mise en abîme tourne au tragique puisque Canio, le clown et mari trompé sur la scène ne supporte dans la vie pas l'infidélité de sa femme Nedda, qui joue Colombine, il la poignarde ainsi que son amant Silvio pour annoncer au public <<la commedia è finita>>.
Faustin
PS Pour Adriana (mes de McVicar), tout ne se passe pas dans un théâtre, et il y en a deux différents : celui où elle interprète Bajazet (vu depuis les coulisses) et le théâtre (ou un salon aménagé en salle de spectacle) où elle interprète un extrait de Phèdre.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
You pla boum ! C'est le roi du pain des p...
Personne n'a cité Le Château de Barbe-Bleue à Garnier où Barbe-Bleu est un magicien qui nous fait un show.
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Ca se réduit au prologue, et ça peut être aussi bien une représentation dans un lieu privé (un salon du château par exemple) que dans une salle de spectacle.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Makropoulos (Strasbourg)Groombridge a écrit :Robert Carsen:
Tosca (Antwerp; Barcelona; Zurich)
Richard III (Antwerp; Geneve; Strasbourg)
Ariadne auf Naxos (Bayerische Staatsoper; Deutsche Oper Berlin)
Midsummer Night's Dream (Aix; English National Opera; Barcelona; La Scala)
Mefistofele (SF, Genève, etc)
Pour le Songe on pourrait ajouter de nombreuses autres villes comme Montpellier, Nîmes, Lyon, Bordeaux, Paris, ...
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
Odb-opéra
Re: Les mises en scène qui utilisent un théâtre/une scène comme décor
Il y a le cas très intéressant de La Princesse de Trébizonde d'Offenbach qui traite d'une troupe de cirque qui va gagner à la loterie et qui propose un spectacle d'automates (avec le prototype d'Olympia).micaela a écrit :Sans doute, parce que, comme pour Adriana Lecouvreur, c'est dans le livret. Ici, il est plutôt question des mises en scène qui situent arbitrairement (si j'ose dire) l'action dans un théâtre, alors que le livret ne le prévoit pas. A moins qu'on ne fasse un Cav/Paag à décor unique, celui du théâtre.faustin a écrit :Et je vois que personne ne cite Pagliacci de Leoncavallo où une mise en abîme tourne au tragique puisque Canio, le clown et mari trompé sur la scène ne supporte dans la vie pas l'infidélité de sa femme Nedda, qui joue Colombine, il la poignarde ainsi que son amant Silvio pour annoncer au public <<la commedia è finita>>.
Faustin
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
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